Les problématiques de l’éolien
Symboles de la transition énergétique, les éoliennes se sont en quelques années immiscées partout. Sous l’effet d’une propagande quasi-quotidienne, l’opinion semble s’être peu à peu résolue à l’idée que face au réchauffement climatique le salut de l’humanité passerait par l’éolienne.
Et pourtant les éoliennes sont :
- Anti-écologiques :
La bétonisation massive des sols, le recours à des terres rares, aux matériaux importés non-recyclables, ses atteintes à la biodiversité, sa durée de vie limitée à 20 ans et ses coûts de démantèlement prohibitifs rendent les éoliennes anti-écologiques par nature. - Inefficaces :
Non seulement les éoliennes sont par leur construction même génératrices de gaz à effet de serre, mais l’intermittence du vent conduit à la nécessité d’utiliser en appoint les centrales électriques au charbon ou au pétrole pour compenser les insuffisances du vent, aboutissant à l’exact opposé de l’effet recherché. - Une rente garantie :
Même si leur rendement est assez lamentable en terme de production électrique, cela ne gêne pas les promoteurs éoliens. En effet, l’Etat leur a accordé une double garantie : en volume (leur courant accède au réseau avec une priorité sur tous les autres) et en prix (avec des engagements sur vingt ans). - Non-démocratiques :
Non content de s’implanter sans concertation, de corrompre certains maires et de modifier les textes de loi, le lobby éolien a infiltré les plus hautes sphères de l’Etat et impose ses vues et ses éléments de langage à une population de plus en plus mobilisée. - Ruineuses :
Sans qu’ils le sachent, la facture de l’éolienne est salée pour les Français. Au travers de plusieurs taxes plus ou moins maquillées, depuis 2002, l’addition totale s’élève à près de 140 milliards d’euros et devrait doubler d’ici 2030 si rien n’est fait. - Invivables :
Pollutions visuelles, effets stroboscopiques des pales, flashs nocturnes, infrasons, perte de valeur des biens immobiliers… Les riverains n’en peuvent plus, et face à cela, alors que les contre-études se multiplient, l’Etat cultive le mépris et qualifie leur syndrome de « nocebo ». - Un échec européen:
Le constat d’échec n’est absolument pas particulier à la France. Il est même emblématique dans le cas de l’Allemagne, qui s’est lancée dans la « transition écologique » 10 ans avant nous, et y avait, en 2014, consacré financièrement l’équivalent de la reconstruction du parc nucléaire français actuel à neuf sans diminution notable de CO2 dans l’atmosphère.
Ces raisons expliquent notre volonté de réaliser un documentaire sur le sujet de l’énergie éolienne. Afin de mieux comprendre son impact réel sur les temps présents mais aussi à venir.